Observations et analyses d’EDC pour planifier son expansion en Europe.
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L’Europe entretient de nombreux liens étroits avec le Canada. Il s’agit notamment d’un engagement mutuel en faveur des valeurs démocratiques et des droits de la personne, de la croyance dans la primauté du droit et de partenariats stratégiques allant de l’énergie propre et de la sécurité au développement humain. Peut-être plus important encore pour les entreprises canadiennes, l’Europe abrite plus de 450 millions de clients fortunés qui constituent un marché tout trouvé pour nos biens et nos services.
Tout cela fait de l’Europe un marché attrayant pour les entrepreneurs canadiens qui cherchent à développer leurs activités à l’étranger. Mais la région est également confrontée à des défis qui peuvent compliquer la tâche des exportateurs potentiels.
Avec un plan d’exportation intelligent, des partenaires dévoués et dignes de confiance, et la volonté de faire votre travail, le potentiel d’expansion de votre entreprise en Europe ne peut être surestimé. Cela pourrait représenter l’aboutissement de vos ambitions pour votre entreprise et le type de succès que vous n’auriez jamais cru possible.
Et le meilleur dans tout ça? C’est que vous ne serez pas seul. Exportation et développement Canada (EDC) aide les entreprises canadiennes à se diversifier à l’étranger, afin qu’elles puissent apprendre ce que signifie l’impact de l’exportation. Nous avons des représentants commerciaux dans toute l’Europe qui peuvent vous conseiller sur votre stratégie d’exportation, vous mettre en contact avec notre vaste réseau de partenaires et de ressources, et stimuler votre expansion en vous aidant à obtenir du financement et à atténuer les risques.
Les renseignements sur les marchés d’EDC dénotent une correspondance entre la demande régionale et l’offre canadienne dans les secteurs suivants.
L’Europe compte près d’un demi-milliard de consommateurs qui apprécient les produits alimentaires de haute qualité. Nos accords commerciaux ont éliminé la plupart des droits de douane sur les exportations agroalimentaires canadiennes, ce qui donne au Canada un avantage concurrentiel.
Les possibilités dans l’agroalimentaire européen ne se limitent pas à la vente d’équipement agricole et d’aliments. L’agroalimentaire évolue en UE. Les secteurs liés à la production alimentaire auxquels on ne penserait pas de prime abord, comme l’IA et les nanotechnologies, prennent de plus en plus de place, si bien que les entreprises canadiennes de différents secteurs et sous-secteurs ont maintenant accès à de nombreux débouchés, plus particulièrement dans le domaine de la numérisation, des technologies propres, de la fabrication de pointe, des pratiques durables, de la gestion de l’eau et des eaux usées et des produits de marque maison.
Lorsque l’invasion russe prendra fin, l’Ukraine sera confrontée à la tâche colossale de reconstruire son économie et ses infrastructures détruites. Selon certaines estimations, les coûts pourraient s’élever à plus de 1 billion de dollars. Un programme d’aide généreux de la part des alliés occidentaux de l’Ukraine, à l’instar du plan Marshall qui a aidé l’Europe à se relever après la Seconde Guerre mondiale, pourrait s’avérer nécessaire.
Les entreprises canadiennes auront d’énormes possibilités de contribuer dans presque tous les secteurs, de l’ingénierie à l’agroalimentaire en passant par les soins de santé et la technologie. EDC continue de surveiller la situation et demeure déterminée à soutenir les entreprises canadiennes désireuses d’exporter sur ce marché.
Le pacte vert pour l’Europe vise à atteindre la carboneutralité dans l’UE d’ici 2050. Les pays d’Europe sont donc très demandeurs de produits canadiens de technologies propres pour les aider à développer des économies plus durables et à atteindre leurs objectifs de carboneutralité.
Dans le cadre de l’initiative RePowerEU, tous les producteurs industriels de l’Union européenne doivent inclure au moins 40 % d’énergie renouvelable dans leur offre énergétique d’ici 2030. Cet objectif ambitieux, assorti de mesures incitatives et d’encouragement stratégiques visant à encourager les changements positifs, contribuera à faire de l’Europe la région la plus prometteuse au monde en matière de décarbonation et de transition énergétique.
Le Canada a beaucoup à offrir à l’Europe en matière d’infrastructures d’énergies renouvelables, puisque près des deux tiers de notre production énergétique proviennent déjà de l’électricité, de l’énergie éolienne, de l’énergie solaire et d’autres sources propres. Nos principales exportations d’énergies renouvelables comprennent les turbines et les générateurs hydroélectriques, les éoliennes, les technologies de réseaux intelligents et les thermopompes géothermiques.
L’hydrogène semble être la première source d’énergie verte viable et évolutive au-delà de l’énergie éolienne et solaire. Les investissements privés et publics affluent dans le développement de l’hydrogène. Les entreprises canadiennes doivent emboîter le pas pour profiter des possibilités offertes par la technologie de l’hydrogène, sinon elles risquent d’être laissées pour compte.
Le Canada dispose d’atouts majeurs dans ce domaine en raison de son infrastructure de pointe. À EDC, nous avons établi des relations avec un portefeuille de cinq services d’eau du Royaume-Uni – qui seront bientôt six – dans le but de faire participer les fournisseurs canadiens. Les domaines les plus prometteurs pour les entreprises canadiennes sont l’efficacité énergétique, l’automatisation, le traitement des eaux usées et la réduction des déversements et de la pollution.
Quel marché d’Europe se prête le mieux à la stratégie et aux capacités de votre entreprise? Les options sont nombreuses, mais selon les renseignements sur les marchés d’EDC, le potentiel pour les exportateurs canadiens est particulièrement élevé dans les pays et les régions ci-dessous.
Les entreprises canadiennes qui cherchent à étendre leurs activités de l’autre côté de l’Atlantique devraient envisager le Royaume-Uni (R.-U.) comme marché cible. Le Royaume-Uni, qui compte 67,9 millions d’habitants, est la cinquième économie mondiale par rapport au produit intérieur brut (PIB), avec de nombreux marchés diversifiés fortement intégrés à l’Union européenne. Le Royaume-Uni est un chef de file mondial dans les domaines des services financiers, des industries créatives, des sciences de la vie, de l’aéronautique et des énergies renouvelables.
Le Royaume-Uni est une destination attrayante pour les entreprises canadiennes en raison des éléments suivants :
En 2022, le Royaume-Uni était le troisième pays partenaire commercial du Canada, avec des échanges évalués à 46,5 milliards de dollars.
Les entreprises canadiennes qui exercent leurs activités au Royaume-Uni peuvent profit de l’Accord de continuité commerciale Canada–Royaume-Uni (ACC Canada-Royaume-Uni), qui est entré en vigueur le 1er avril 2021. Cet accord préserve les principaux avantages de l’Accord de Partenariat transpacifique global et progressiste (PTPGP), notamment l’élimination des droits de douane sur 98 % des produits exportés vers le Royaume-Uni. Cela signifie que les exportateurs canadiens continuent de bénéficier d’un accès préférentiel au marché britannique.
Dans l’ensemble, le Royaume-Uni représente une importante occasion d’exportation pour les entreprises canadiennes de toutes tailles.
L’Allemagne est une option intéressante pour les entreprises canadiennes qui souhaitent développer leurs activités en Europe. Avec 83,2 millions d’habitants, l’Allemagne est le pays le plus peuplé de l’Union européenne (UE). C’est la plus grande économie d’Europe et la quatrième économie du monde. Elle possède une économie forte et diversifiée qui excelle dans des secteurs tels que l’industrie manufacturière, l’ingénierie, les énergies renouvelables, la biotechnologie et l’innovation numérique.
L’Allemagne offre de nombreux avantages aux entreprises canadiennes :
L’Allemagne et le Canada entretiennent depuis longtemps des relations amicales dans les domaines du commerce, de l’investissement, de la science, de la technologie et de la culture. Nous partageons également les mêmes valeurs, telles que la démocratie, les droits de la personne, la sécurité, les changements climatiques et le multilatéralisme.
L’Allemagne est le premier marché d’exportation de marchandises du Canada dans l’UE et son septième partenaire commercial à l’échelle mondiale. En 2022, les échanges bilatéraux de marchandises se sont élevés à 30 milliards de dollars. L’Allemagne est également le deuxième partenaire commercial du Canada dans le domaine des services en Europe, après le Royaume-Uni. En 2022, les échanges bilatéraux de services se sont élevés à plus de 6,9 milliards de dollars.
Le Canada et l’Allemagne bénéficient de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne (UE) qui est entré en vigueur provisoirement le 21 septembre 2017.
La France est la deuxième économie de l’Union européenne et une destination culturelle et touristique de premier plan. C’est aussi un pays très influent et diversifié, avec une forte présence dans des secteurs comme l’aéronautique, l’agroalimentaire, les technologies propres, les technologies financières et les sciences de la vie.
La France est une cible attrayante pour les exportations canadiennes pour les raisons suivantes :
De nombreuses entreprises canadiennes tirent le meilleur parti des débouchés offerts par les marchés français. En 2022, le commerce bilatéral de marchandises entre nos deux pays s’est élevé à 11,7 milliards de dollars et les exportations de marchandises canadiennes vers la France ont été évaluées à environ 4 milliards de dollars.
Il reste encore beaucoup de potentiel inexploité pour les entreprises canadiennes en France, en particulier pour les petites et moyennes entreprises (PME), car la France et le Canada bénéficient tous deux de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG).
En plus d’être l’une des premières destinations culturelles et touristiques du monde, l’Italie est la troisième économie de la zone euro et un proche allié du Canada. Cette relation commune fait de l’Italie une cible attrayante pour les exportations canadiennes, tout comme :
Commerce de marchandises entre le Canada et l’Italie ont totalisé 15 milliards de dollars en 2022, et ce chiffre peut encore augmenter si davantage d’entreprises tirent parti de l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG).
La Pologne offre des débouchés aux entreprises canadiennes qui cherchent à s’implanter en Europe. La sixième économie du continent compte une population de 38 millions d’habitants et un ensemble diversifié d’industries, allant de la fabrication à la haute technologie. La Pologne offre de vastes possibilités de commerce, d’investissement et de collaboration.
La Pologne est un choix judicieux pour les investissements des entreprises canadiennes en raison de ses atouts suivants :
La Pologne est également une plaque tournante du transport et de la logistique, avec un réseau routier et ferroviaire bien développé, plusieurs ports maritimes et aéroports, et un accès à la mer Baltique. Les investissements étrangers en Pologne portent leurs fruits : En 2020, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement a classé la Pologne au deuxième rang en Europe pour ce qui est du rendement du capital investi (RCI) pour les investisseurs étrangers.
Les entreprises canadiennes faisant des affaires en Pologne peuvent tirer parti des accords de libre-échange du pays, dont l’Accord économique et commercial global (AECG), pour accéder à de nouveaux marchés en Europe et au-delà.
Bien des entreprises canadiennes profitent des débouchés en Pologne. En 2022, les exportations canadiennes de marchandises vers la Pologne se sont élevées à 1,2 milliard de dollars. Selon le Service des délégués commerciaux (SDC) il y a encore beaucoup de potentiel inexploité pour les entreprises canadiennes, y compris les PME, entre autres dans les secteurs de l’agroalimentaire et des produits de la mer, des technologies propres, des technologies financières et des sciences de la vie.
The Nordics are a group whose major members are Denmark, Finland, Iceland, Norway and Sweden. They collectively represent a major opportunity for Canadian business looking to break into the European marketplace, characterized by:
There are many opportunities in the Nordic countries for Canadian businesses that know where to look. For example, even while Norway has become Europe’s largest exporter of natural gas, the country is investing heavily in decarbonization and alternative energy. This means that there’s a growing market for providers of green technology and equipment as Norway attempts to scale back emissions from industries like agriculture and transportation, even while keeping oil and gas production high.
There are also many such opportunities in Denmark, Finland, Iceland and Sweden. Denmark, Finland and Sweden are all members of the EU and benefit both from a united trade environment and the Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA). Iceland and Norway aren’t member nations, but both have trade policies that align closely with those in the EU.
EDC is closely monitoring the impact of Russia’s destructive war on Ukraine, which has targeted a significant part of Ukraine’s infrastructure and severely disrupted its trade and investment environment. Ukraine is facing a significant and growing reconstruction challenge. Canadian companies looking to capitalize on present-day opportunities or those that arise from the rebuild will have the added support of the Canada-Ukraine Free Trade Agreement (CUFTA).
Ukraine is an important economic partner for Canada. The two countries signed CUFTA which entered into force on Aug. 1, 2017. It eliminated tariffs across many export groups and improved market access to key sectors such as agri-food, infrastructure, energy, cleantech, metals and mining, and information and communications technology (ICT). CUFTA was modernized in April 2023 and provided new and upgraded chapters on investment, services, temporary entry for professionals, financial services, digital trade, rules of origin, trade and gender. For the first time, it also included a chapter on trade and Indigenous Peoples.
L’Europe est un marché vaste et lucratif pour les entreprises canadiennes. Les accords commerciaux ont supprimé la plupart des barrières commerciales, faisant de cet immense marché de 445 millions de consommateurs une cible tentante pour les entrepreneurs de notre pays. Les exportations canadiennes vers l’UE ont déjà augmenté de 17 % depuis la mise en œuvre de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne (UE), et ce n’est que le début.
Les entreprises canadiennes qui souhaitent s’implanter en Europe doivent être bien préparées à faire face aux obstacles potentiels. Des réglementations nombreuses et complexes, la concurrence des entreprises locales et les incertitudes politiques et économiques persistantes font de l’Europe un marché gratifiant, mais difficile pour les exportateurs potentiels. Pour réussir, les entrepreneurs canadiens doivent comprendre et respecter les règles du Royaume-Uni et de l’UE, s’adapter aux marchés locaux et offrir une qualité et une valeur supérieures à ce que les clients européens avertis peuvent trouver sur le marché intérieur.
La feuille de route de l’Europe en matière de transition énergétique vise à atteindre la carboneutralité d’ici 2050, et c’est un euphémisme de dire que la guerre en Ukraine a constitué un sérieux obstacle à la réalisation de cet objectif. La réduction des exportations de gaz russe a menacé la sécurité énergétique de l’Europe, entraînant une volatilité des prix et des pénuries d’approvisionnement, sans parler du coût humain croissant.
Pour réduire sa dépendance à l’égard des exportations russes, l’UE a accéléré ses efforts pour assainir et diversifier ses sources d’énergie. Le plan REPowerEU vise à promouvoir les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique, les liaisons électriques transfrontalières, l’hydrogène vert et le stockage du gaz. Il renforce également la résilience de l’UE face aux chocs extérieurs en approfondissant ses liens diplomatiques avec ses partenaires énergétiques.
Dans l’ensemble, la guerre en Ukraine a créé à la fois des défis et des possibilités pour le rôle du Canada dans la transition énergétique de l’Europe. Elle a accéléré le calendrier et créé des mesures incitatives urgentes en faveur de solutions de rechange en matière d’énergie propre et d’une plus grande efficacité. Mais elle a aussi ajouté encore plus de complexité et de perturbations à une entreprise déjà colossale.
Le Brexit (retrait de la Grande-Bretagne de l’Union européenne) a perturbé les tendances commerciales européennes entre le Royaume-Uni et le reste de l’Europe. Cette situation a rendu leurs relations économiques plus complexes et plus incertaines. Elle a également créé une ouverture pour les entreprises canadiennes, qui entretiennent des relations commerciales stables et continues avec le Royaume-Uni, quatrième partenaire commercial du Canada. Grâce aux accords de libre-échange conclus avec l’UE et le Royaume-Uni, le Canada peut combler les lacunes laissées par le Brexit dans des secteurs tels que l’agriculture, l’énergie, la finance et la technologie.
Trouver de nouveaux clients, fournisseurs et partenaires, comprendre la culture des affaires et les lois commerciales locales, se familiariser avec la logistique de l’expédition de marchandises : voilà quelques défis à surmonter pour faire des affaires à l’étranger.
Mais vous n’avez pas à tout faire par vous-même. Un réseau d’organismes canadiens axés sur le commerce unit ses forces pour vous aider à vous lancer à l’étranger. En collaboration avec les délégués commerciaux à l’étranger, EDC peut vous mettre en relation avec des personnes réputées dont la fiabilité a été vérifiée, comme des agents, des distributeurs, des avocats, des comptables, des traducteurs, des interprètes linguistiques et culturels, des courtiers en douane, des représentants du gouvernement et des acheteurs potentiels aux quatre coins de l’Europe.
Nous offrons aussi des solutions de financement, de gestion des risques et d’augmentation du fonds de roulement pour aider les entreprises canadiennes à réussir à l’étranger.
Le SDC aide les entreprises canadiennes à se développer en leur fournissant des conseils pratiques et exploitables sur les marchés étrangers. Le SDC de la Grande-Bretagne et de l’Union européenne fournit des renseignements sur le terrain pour aider les Canadiens à s’y retrouver dans les règles et règlements européens, à tirer parti des traités commerciaux existants et à prendre des décisions opportunes et rentables. Il aide également les entreprises canadiennes à trouver des débouchés internationaux et des programmes de financement et de soutien grâce à son réseau mondial de délégués commerciaux.
Les clients du SDC peuvent être :
Fondée en 1991, la BERD peut contribuer au repérage de nouveaux débouchés pour les entreprises canadiennes faisant des affaires dans certains pays en transition vers une économie de marché libéralisée. Comme le Canada joue un rôle important dans les activités de la BERD à titre de membre fondateur, les entreprises d’ici ont la possibilité de soumissionner les projets financés par cette institution en Europe orientale et centrale, en Asie centrale et dans le sud et l’est de la région méditerranéenne.
Les entreprises canadiennes peuvent participer au Programme d’aide aux échanges commerciaux pour faciliter leurs transactions dans les pays où la BERD est active. Grâce à l’institution, les entreprises d’ici trouveront et saisiront plus facilement des occasions d’affaires sur des marchés qu’elles n’auraient autrement pas envisagés, avec la certitude que la BERD supervisera leurs projets.
L’AECG élimine les droits de douane sur la quasi-totalité des biens échangés entre le Canada et l’Union européenne et offre un meilleur accès aux services, aux investissements, aux marchés publics et à la coopération en matière de réglementation. L’AECG crée également de nouvelles possibilités de collaboration dans des domaines comme la recherche et l’innovation, les technologies propres, l’économie numérique et le développement durable.
L’ACC Canada-Royaume-Uni garantit que les entreprises canadiennes continueront d’avoir accès au marché britannique dans les mêmes conditions que l’AECG. L’ACC Canada-Royaume-Uni prévoit également la poursuite de l’élimination des droits de douane sur les marchandises échangées entre le Canada et le Royaume-Uni, ce qui donne aux exportateurs canadiens un avantage sur les marchés britanniques et assure une plus grande stabilité des échanges entre les deux pays.
L’ALECU a été signé en 2016 et prévoit l’élimination des droits de douane sur les marchandises échangées entre les deux pays. Il comprend également des dispositions relatives aux obstacles non tarifaires au commerce, tels que les règlements techniques et les mesures sanitaires. L’ALECU donne aux entreprises canadiennes un meilleur accès au marché ukrainien.
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Consultez ce rapport économique d’EDC et découvrez comment le Canada peut profiter de ces mesures.
Les tendances agroalimentaires en Europe ouvrent d’intéressants débouchés.
Les débouchés sont nombreux, mais il faut d’abord faire ses devoirs.
Exportation et développement Canada résume ici l’étiquette à observer sur ce marché stratégique
*La « valeur totale des exportations canadiennes » comprend les marchandises et les services (à l'exclusion des voyages, des services commerciaux, des transports et des services gouvernementaux).
Tous les chiffres pour la « valeur totale des exportations canadiennes » proviennent du Statistique Canada
Tous les chiffres du « PIB (nominal) » proviennent de la Banque mondiale