A baker dusting flour on a dough to make bread.

Les plus grandes tendances alimentaires en 2025 selon l’expert d’EDC

Alors que les préférences des consommateurs changent et refaçonnent l’industrie des aliments et des boissons, Ashley Kanary, directeur du secteur agroalimentaire à Exportation et développement Canada, nous livre ses impressions des tendances à surveiller en 2025. Les gens veulent réapprendre à faire à manger à partir d’ingrédients de base. De plus en plus cherchent à consommer des boissons infusées au collagène et des collations riches en protéines. M. Kanary nous présente un marché en pleine évolution.

« Les collations qui apportent quelque chose de nouveau devraient avoir un grand impact », explique le directeur d’EDC, qui prévoit un boom dans ce secteur, ainsi que pour d’autres tendances clés, comme les saveurs d’ailleurs et les ingrédients sains.

Fort de plus de 40 ans d’expérience dans le secteur des épiceries, M. Kanary rencontre régulièrement des entreprises de taille moyenne des secteurs de l’alimentation, de l’épicerie et des marques maison dans le cadre de ses fonctions à EDC. Il assiste également à de nombreux salons commerciaux chaque année afin de promouvoir les services d’EDC et d’en apprendre directement sur les avenues de croissance et d’innovation dans ce secteur. Au Canada, l’agroalimentaire (dont les exportations représentent environ 75 milliards de dollars par année) est l’un des principaux domaines d’intérêt d’EDC.

Pierre angulaire de l’économie canadienne, le secteur agroalimentaire contribue grandement aux marchés locaux et internationaux. Le gouvernement du Canada a fixé des objectifs ambitieux pour l’industrie agroalimentaire, visant à atteindre 85 milliards de dollars d’exportations agricoles, agroalimentaires et en produits de la mer d’ici la fin de 2025. Cette croissance est attribuable à la réputation du Canada en tant que fournisseur de produits sûrs et de grande qualité ainsi qu’à la hausse de la demande pour les protéines et autres produits agroalimentaires.

Voici les prévisions de M. Kanary en ce qui a trait aux sept plus grandes tendances alimentaires en 2025.

1. Retour à l’essentiel

La plus grande tendance est un retour à une façon plus simple et plus naturelle de cuisiner et de manger. Que ce soit pour des raisons de santé ou de commodité, les gens sont nombreux à retrouver le plaisir d’enfiler un tablier.

Les entreprises de livraison de nourriture, comme Goodfood, intègrent des éléments de base dans les repas que vous pouvez facilement réchauffer, évitant ainsi la restauration rapide et les options ultra-transformées. Cette tendance est particulièrement populaire chez les jeunes qui veulent des aliments sains livrés à leur porte.

Les repas faits maison ont tendance à être plus sains et plus nutritifs, offrant commodité et possibilité de personnaliser les recettes. La nostalgie et le réconfort jouent également un rôle dans cette tendance.

« La façon rétro ou à l’ancienne de préparer votre nourriture est très à la mode. Il y a beaucoup de potentiel pour les entreprises canadiennes qui lancent des produits associés au “retour à l’essentiel” et EDC peut les aider à accroître leurs activités en agrandissant leurs installations de fabrication. C’est aussi une question de commodité. Nous voyons les consommateurs graviter vers les services de livraison de nourriture qui offrent des repas sains et évitent les aliments très transformés », dit-il.

Ashley Kanary, responsable de l’agroalimentaire à EDC, assiste à une foire commerciale du secteur.

Ashley Kanary, directeur du secteur agroalimentaire à Exportation et développement Canada

2. Ingrédients sains

De nombreux consommateurs veulent des aliments naturels et sains, qui goûtent frais, qui sont moins transformés et exempts d’agents de conservation, de saveurs et de colorants artificiels. Ils recherchent un bon rapport qualité-prix, un étiquetage simple et des ingrédients nutritifs. Avec la montée des intolérances et des restrictions alimentaires, les gens évitent de plus en plus certains ingrédients pour des raisons de santé.

« Les gens lisent la liste d’ingrédients et ne veulent pas acheter de produits qui contiennent des ingrédients qu’ils ne peuvent pas prononcer. Moins il y a de transformation, mieux c’est. Voilà ce qui attire de plus en plus les consommateurs, dit M. Kanary. Il ajoute : les gens commencent à être capables de reconnaître la nourriture qui n’est pas bonne pour eux. Les vidéos sur Instagram, TikTok et YouTube leur font découvrir la façon dont les aliments sont fabriqués et ce qu’ils contiennent, ce qui est vraiment important. Les entreprises doivent simplifier les listes d’ingrédients, sinon leurs ventes en souffriront. »

M. Kanary affirme que des entreprises canadiennes comme Save Da Sea (lien en anglais seulement), basée à Victoria en Colombie-Britannique, sont à la fine pointe de cette tendance en produisant des fruits de mer végétaliens avec seulement neuf ingrédients et un minimum de transformation.
 

3. Des saveurs d’ailleurs

Une tendance marquée, que M. Kanary associe à une sorte de rébellion contre la norme, semble pousser les consommateurs à chercher des expériences culinaires plus aventureuses, en particulier en ce qui concerne les cuisines indienne et asiatique. Cette tendance, alimentée en partie par la pandémie, reflète un désir de goûter à des mets variés du monde entier.

Quand ils font une sortie, les gens souhaitent vivre des expériences uniques : restaurants éphémères, festivals gastronomiques, cuisine fusion et mélange de plats traditionnels et contemporains. Cette curiosité s’exprime aussi à la maison. Quand ils cuisinent, les gens expérimentent de plus en plus avec des ingrédients et des recettes exotiques.

Pour les entreprises agroalimentaires et les exportateurs canadiens, cette tendance présente un potentiel considérable. En introduisant des ingrédients internationaux diversifiés et de haute qualité sur le marché canadien, les entreprises peuvent répondre à la demande croissante de saveurs d’ailleurs. Les marques alimentaires canadiennes peuvent également innover en créant des produits « fusion » mélangeant des parfums d’ici et d’ailleurs qui sauront plaire aux consommateurs aventureux. Les quesadillas de bœuf style barbecue coréen, les sushis burritos (sushirritos) et les sandwichs Bánh mì sont des exemples de produits « fusion ». Les exportateurs peuvent aussi profiter de cette tendance en faisant la promotion des produits canadiens à l’étranger, mettant en valeur le paysage culinaire multiculturel du pays.

« Les aliments d’ailleurs se trouvaient autrefois dans leur propre section, mais ils deviennent de plus en plus courants et ont maintenant leur place un peu partout sur les tablettes des épiceries. Il fut un temps où il y avait des sections distinctes pour la cuisine chinoise, la cuisine grecque et la cuisine indienne, mais maintenant, le monde des saveurs est intégré dans votre expérience d’achat », explique M. Kanary.

naturSource, une entreprise familiale montréalaise reconnue pour ses amandes aromatisées au tamari et ses garnitures à salade à saveurs internationales, illustre bien cette tendance. Ses dirigeants cherchent à s’implanter dans l’Indo-Pacifique et se sont récemment rendus au Japon pour rencontrer des représentants de Costco et ont assisté à l’ouverture des nouveaux bureaux d’EDC à Tokyo.

La demande pour les produits halal est également très robuste, dit M. Kanary, ce qui offre une nouvelle voie d’entrée pour les entreprises canadiennes qui cherchent à se diversifier à l’échelle mondiale. « Avec un marché qui rapporte environ 2 200 milliards de dollars par an en ventes halal, il n’est plus possible d’ignorer ce segment de consommateurs. »

Pour en savoir plus, lisez notre article détaillé sur les aliments halal, ses principaux marchés et les tendances de consommation qui façonnent cette industrie.

M. Kanary indique par ailleurs que la compréhension d’un nouveau marché est la clé du succès. « À EDC, notre équipe agroalimentaire au Canada et nos représentants locaux dans le monde entier peuvent vous aider à trouver vos repères dans ces nouveaux marchés. »

Prince Owusu, économiste principal à EDC, affirme que lorsque les entreprises canadiennes envisagent de se diversifier en perçant un nouveau marché, l’Asie-Pacifique mérite d’être prise en considération, avec ses économies fortes et sa population croissante. Selon la Brookings Institution, la région continuera à dominer la classe moyenne mondiale, représentant 65 % de la part mondiale d’ici 2030, contre les 60 % qui sont prévus cette année.

« La classe moyenne jeune et dynamique de cette région, à la recherche d’une alimentation saine et pratique, est un facteur convaincant pour les exportateurs canadiens qui souhaitent investir massivement dans la conquête de ce marché grâce à nos produits alimentaires de qualité. Le rendement de la plupart des pays de la région en matière de sécurité alimentaire se situe au niveau intermédiaire par rapport au reste du monde, ce qui signifie que leur production intérieure ne peut pas répondre à tous les besoins nutritionnels. Pendant ce temps, le Canada, qui s’affirme comme une puissance sur le marché des produits alimentaires de qualité, a l’occasion d’approfondir sa portée mondiale, d’autant plus que ses concurrents en Ukraine et en Russie sont confrontés à des limites de production en raison du conflit en cours », a déclaré M. Owusu.

Un jeune couple noir aime préparer une salade ensemble dans sa cuisine

4. En faire plus avec moins

Les défis économiques poussent les consommateurs à chercher des options abordables, ce qui crée simultanément deux tendances :

1. Les produits de marque maison : Pour économiser, les gens achètent plus de produits de marque maison en épicerie. Les ventes de ces produits devraient augmenter considérablement cette année, dépassant celles des produits de marques connues à l’échelle mondiale, affirme M. Kanary.

2. Le jardinage pour débutants : Avec la hausse des prix des fruits et légumes en raison de la forte inflation, les gens commencent à cultiver leur propre potager, faisant pousser des aliments comme des tomates et du basilic, et se tournent vers les agriculteurs locaux et les kiosques en bordure de route. Cette tendance consiste à en faire plus avec moins. Les nombreux consommateurs qui font toujours du télétravail au moins quelques jours par semaine ont d’autant plus de temps pour s’adonner à de telles activités.

M. Kanary et une équipe d’EDC ont récemment assisté à la foire commerciale de la PLMA (Private Label Manufacturers Association, une association de fabricants de produits de marque maison), un grand événement dans le secteur des biens de consommation emballés en Amérique du Nord. Cette foire accueille chaque année à Chicago 1 800 exposants de 60 pays. On y retrouve des dizaines de milliers de produits de différentes catégories, y compris des aliments, des boissons et des produits de beauté. L’équipe d’EDC a interagi avec 150 exposants canadiens et a organisé 80 rencontres interentreprises avec huit chaînes d’alimentation en 36 heures.

« C’est essentiellement le Super Bowl des événements concernant les marques maison. Il permet à EDC de montrer aux entreprises canadiennes que nous offrons des services uniques, comme notre Programme de jumelage d’affaires et nos services consultatifs en commerce international. Nous pouvons les présenter aux grands détaillants, comme Fresh Market et ALDI, ce qui est un grand atout. »

5. Faire son pain comme grand-maman

Si le retour du pain maison était emblématique de la pandémie, M. Kanary est d’avis que la tendance s’est maintenant transformée en véritable mouvement, observant que l’industrie de la boulangerie est en plein essor au Canada. La santé et la nutrition étant de plus en plus importantes pour les consommateurs et la commodité étant un facteur clé, les ventes au détail d’ingrédients de base pour la boulangerie devraient augmenter au cours des prochaines années.

« La tendance a évolué et on constate qu’il y a une volonté des gens à faire eux-mêmes leurs produits de boulangerie et de pâtisserie. Dans les magasins, les étalages débordent de produits variés, comme des pains plats et des craquelins artisanaux. À votre boulangerie, la sélection ne se limite plus à la miche française et au pain blanc; vous y trouverez des gâteaux raffinés, des bagels, des pains multigrains, de la focaccia et d’autres produits délectables qui ont la cote. »

Inspirés par les vidéos sur TikTok et d’autres contenus en ligne, les gens réalisent qu’il est facile, peu coûteux et agréable de mettre son chapeau de boulanger. Par exemple, faire des crêpes à la maison ne nécessite que trois ingrédients. Plusieurs sont surpris de constater à quel point c’est simple et beaucoup moins cher que d’acheter des produits préfabriqués.

L’équipe responsable du Programme de jumelage d’affaires d’EDC est à pied d’œuvre pour présenter aux fabricants canadiens de produits de boulangerie et de pâtisserie de qualité des débouchés sur les marchés internationaux en 2025. M. Kanary explique en outre que pour la première fois, une équipe d’EDC participera à une foire commerciale de produits de boulangerie et de pâtisserie en juin, à La Nouvelle-Orléans, organisée par l’IDDBA (International Dairy Deli Bakery Association, soit l’association internationale du secteur des produits laitiers, de charcuterie, de boulangerie et de pâtisserie).
 

6. Boissons hydratantes et à valeur ajoutée

Les Canadiens ne choisissent plus une boisson simplement en fonction de sa capacité à étancher leur soif. Ils sont à la recherche d’avantages fonctionnels, ce qui s’inscrit dans la tendance « santé et nutrition », selon M. Kanary. Le marché des boissons à valeur ajoutée, comme les boissons protéinées infusées au collagène, les boissons d’origine végétale et l’eau hydratante enrichie de vitamines, a connu une croissance fulgurante au cours des dernières années. Selon l’International Market Analysis Research and Consulting Group, les ventes mondiales dans ce secteur devraient atteindre 208 milliards de dollars américains d’ici 2028. Même les brasseurs artisanaux canadiens (lien en anglais seulement) exploitent cette tendance en produisant des boissons sans alcool, notamment des seltzers et des boissons gazeuses.

« Il s’agit d’offrir un avantage par rapport aux autres choix, comme un Coca-Cola, par exemple. Il est impossible de ne pas observer cette tendance dans les salons commerciaux du secteur de l’alimentation et des boissons. On y trouve des sucettes glacées avec des électrolytes, de l’eau de coco pétillante ainsi que des protéines et des électrolytes à diluer dans l’eau. »

M. Kanary dit qu’EDC collabore actuellement avec Revolution Nutrition, une entreprise québécoise qui produit Splash, une boisson protéinée infusée au collagène, et lui a ouvert des portes en Corée du Sud. Dans certains coins de la planète, ce type de produit séduit les personnes qui accordent une grande importance à la santé, au bien-être et à la beauté.

« Même s’il n’est peut-être pas aussi populaire auprès des consommateurs canadiens, il l’est lorsque vous l’exportez vers des pays comme la Corée et le Japon. Leurs consommateurs sont à la recherche de produits de santé et de bien-être et gravitent vers ceux qui contiennent du collagène, qui sont meilleurs pour la peau. La connectivité mondiale d’Internet propulse véritablement ces tendances en matière d’aliments et de boissons. »

7. Compostabilité

Du point de vue du compostage, les chaînes d’alimentation exigent que les emballages soient composés de matières compostables, plutôt que de plastiques à usage unique. Mais l’obstacle pour l’ensemble de l’industrie est le code des produits et les dates de péremption.

« Lorsque vous passez à un emballage entièrement compostable, qui peut être rapidement jeté dans votre jardin pour y disparaître, la durée de conservation sur les tablettes d’épicerie n’est pas aussi longue. Si l’emballage de plastique peut durer un an, l’emballage compostable ne dépassera probablement pas six mois. »

M. Kanary dit qu’EDC est prête à aider dans ce domaine. « Là où EDC peut intervenir, c’est en appuyant les entreprises qui cherchent à financer leur expansion. Quand il est question d’innovation, nous sommes prêts à agir, parce que l’un de nos piliers fondamentaux est l’innovation alimentaire. Nous avons un intérêt à soutenir les entreprises canadiennes qui fabriquent des emballages compostables. »

Rootree, une société de taille moyenne de Burlington en Ontario, est un exemple d’entreprise qui a développé des emballages compostables. Cette innovation est cruciale pour les entreprises qui cherchent à réussir et à croître, car les plastiques à usage unique finiront par disparaître.

« Si vous voulez faire affaire avec des chaînes d’alimentation haut de gamme dans le monde, il s’agit d’un aspect que vous devez intégrer à vos plans », recommande-t-il.

Il souligne également l’importance du développement durable pour attirer les marchés internationaux. « Les entreprises canadiennes qui investissent dans les emballages compostables répondent non seulement aux exigences d’ici, mais elles se positionnent aussi favorablement sur les marchés mondiaux où le développement durable est une préoccupation majeure. »

À EDC, nous misons sur nos relations avec les détaillants mondiaux pour créer des occasions d’exportation pour les entreprises canadiennes du secteur des aliments et des boissons. Communiquez avec EDC pour savoir comment nous pouvons vous donner accès à votre prochain marché international

Les microtendances à surveiller

Les collations croquantes (le granola, les noix aromatisées, les pois chiches rôtis, les algues croustillantes, les craquelins à la farine d’amande, les friandises qui contiennent la saveur umami, etc.) gagnent également en popularité. Ces collations en vogue font partie des tendances en évolution que nous suivons de près, explique M. Kanary. Elles reflètent l’intérêt croissant des consommateurs pour des options à la fois santé et savoureuses qui répondent à divers besoins et préférences alimentaires.

L’umami, qui signifie « goût délicieux » en japonais, est l’une des cinq saveurs de base, les autres étant le sucré, l’acide, le salé et l’amer. Il se caractérise par la présence de glutamates et de nucléotides dans les aliments comme les champignons, le fromage et la sauce soja.

« Ce sont surtout les champignons qui sont utilisés pour ajouter l’arôme d’umami, ce qui est vraiment intéressant. Cependant, je dirais qu’il s’agit d’une microtendance parce qu’elle n’a pas encore explosé. Partout dans le monde, il y a de petits groupes de gens qui sont de grands adeptes, et, à EDC, notre objectif est de traduire cette tendance en dollars concrets pour les exportateurs canadiens », conclut M. Kanary.

EDC offre une gamme de services pour aider les entreprises canadiennes à croître, en particulier dans le secteur agroalimentaire. Voici six façons dont EDC peut soutenir votre croissance :

1. Solutions financières : EDC offre des options de financement comme des prêts, des garanties et des assurances pour aider les entreprises à gérer leurs flux de trésorerie, à investir dans de nouveaux projets et à se protéger contre les risques.

2. Connaissance des marchés : EDC offre de précieux renseignements sur les marchés mondiaux, aidant les entreprises à comprendre les tendances, les observations économiques, les réglementations et les débouchés dans différentes régions.

3. Jumelage d’affaires : Grâce à son vaste réseau, EDC met les entreprises canadiennes en contact avec des acheteurs, des partenaires et des distributeurs internationaux potentiels, facilitant ainsi l’entrée sur de nouveaux marchés.

4. Services-conseils : Les services consultatifs en commerce international d’EDC offrent des conseils d’experts sur les stratégies d’exportation, l’entrée sur les marchés et la gestion des risques, aidant ainsi les entreprises à comprendre les complexités du commerce international.

5. Foires et missions commerciales : Jouant tantôt le rôle d’organisatrice, tantôt le rôle de participante lors de foires et missions commerciales, EDC offre aux entreprises des occasions de présenter leurs produits, de rencontrer des clients potentiels et de se renseigner sur les innovations dans leur secteur.

6. Soutien à l’innovation : EDC soutient les entreprises dans le développement de produits et de services novateurs qui répondent à la demande mondiale, en les aidant à demeurer concurrentielles sur le marché international.

En tirant parti de ces services, les entreprises canadiennes peuvent élargir leur portée, accroître leur compétitivité et réaliser une croissance durable sur le marché mondial.

     

   

                                               

Date de modification : 2025-01-28