La dépendance excessive du Venezuela à l’égard du pétrole, l’inflation élevée, l’accès restreint aux devises et les nationalisations continues ont accru les risques commerciaux que comporte ce marché. Par conséquent, il y a un brusque déclin de l’intérêt des exportateurs et des investisseurs pour ce marché andin. Au cours de la dernière décennie, le gouvernement a considérablement renforcé son contrôle sur les actifs du pays. Le climat des affaires est turbulent et le gouvernement du président Maduro s’est montré ouvertement hostile aux capitaux privés et aux investissements directs étrangers. Cette situation ne devrait pas changer à court terme.