Exportation et développement Canada (EDC) et la Japan Bank for International Cooperation (JBIC) ont annoncé aujourd’hui la signature d’un protocole d’entente affirmant leur engagement à travailler de concert dans les marchés et les secteurs qui aideront leurs deux pays à atteindre leurs objectifs communs dans l’Indo-Pacifique et au-delà.
Le protocole renforcera la collaboration entre les deux pays et générera plus de débouchés pour les entreprises japonaises et canadiennes dans les secteurs prioritaires que sont la chaîne d’approvisionnement, la transition énergétique et l’infrastructure.
Dans le cadre de cette entente, JBIC, l’institution financière basée sur des politiques du gouvernement japonais, jouera un rôle très utile d’intermédiaire entre entrepreneurs et investisseurs japonais et exportateurs canadiens, lesquels pourront également profiter de sa vaste connaissance du marché pour saisir des occasions en Indo-Pacifique. L’organisme de crédit à l’exportation du Canada, EDC, apporte une grande expertise en matière de financement et de structuration, de même que son réseau d’entreprises canadiennes de premier plan dans les principaux secteurs d’intérêt, ce qui aidera à concrétiser des occasions de commerce international pour le Canada aussi bien que pour le Japon.
« Le Japon est l’un des plus importants partenaires économiques et commerciaux du Canada en Asie, et nos deux nations ont en commun des objectifs dans les domaines de la science, de la technologie et de l’innovation, a expliqué Mairead Lavery, présidente et chef de la direction d’EDC. Cet important partenariat sera l’occasion pour chacune de nos organisations de faire valoir son expertise et ses forces particulières afin de renforcer les liens commerciaux entre le Canada et le Japon, et avec les autres pays de l’Indo-Pacifique. Nous sommes impatients d’observer les débouchés commerciaux et les innovations qui, grâce à ce protocole d’entente, profiteront à nos deux pays. »
Cette entente fait suite à l’ouverture d’une nouvelle représentation d’EDC à Tokyo, dont la vocation est d’asseoir la présence de la Société au Japon et, plus généralement, en Indo-Pacifique, au profit des exportateurs canadiens faisant affaire dans la région.
